Voici plusieurs années, le noble Franz-Olivier Giesbert me confia un jour de décembre, face au château des Hohenzollern, au sud de Stuttgart, une parole d’une rare finesse : « Je préfère être burnes-out que burn-out ». Puis, son rire simiesque acheva de me convaincre de son génie. « Où trouvez-vous l’inspiration ? », lui demandais-je avec beaucoup de …
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