« Le monde sensible comme corrélat de la conscience », écrivait l’un des plus grand philosophes de tous les temps, sinon le plus grand, Edmund Husserl, dans son livre Idées directrices pour une phénoménologie. Cette phrase d’Husserl m’a toujours émerveillé, fasciné, intrigué, alors que j’étais étudiant, car j’entrevoyais dans cette corrélation une perspective extraordinaire, la perspective qu’un changement de conscience …
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