Accueil Non classé Pour sauver la race blanche européenne, par Lotfi Hadjiat

Pour sauver la race blanche européenne, par Lotfi Hadjiat

0
2
843

0CDA97E9-11BD-49DB-8852-66D99E5A2439

C’est un fait, sous l’effet conjugué de l’immigration de masse, du sansfrontiérisme systémique, de la propagande acharnée du métissage, de la banalisation de l’avortement, de la promotion hystérique de l’homosexualité et de l’individualisme stérile, la natalité blanche européenne s’écroule, conduisant inéluctablement cette population à son extinction raciale à moyen terme. Et comme pour précipiter la mort du Blanc, le poison de la culpabilité est injecté médiatiquement jusqu’à l’overdose dans le cœur des Blancs européens, pour non seulement inciter ces derniers à ne pas perpétuer leur race, mais aussi pour enflammer la colère des autres peuples contre les Blancs européens jusqu’à une guerre raciale finale. Le soutien médiatique intégral au mouvement BlackLivesMatter (« la vie des Noirs comptent », en français) semble être le prélude à cette guerre raciale éradicatrice. De quel crime absolu les Blancs européens sont-ils donc coupables pour mériter leur disparition absolue ?

On accable les Blancs européens de bien des maux, traite des Noirs, colonisation, capitalisme, néolibéralisme, mais surtout hécatombe des Juifs dans les camps durant le troisième Reich allemand. Cela dit, les Juifs étaient partie prenante dans la traite des Noirs, au point que le fameux Code noir de Colbert, dès le premier article, « enjoint aux officiers de chasser les Juifs des îles françaises » où l’esclavage était autorisé (car il n’était pas autorisé en métropole) ; ce Code noir visait à mettre fin à la cruauté sans limites des maîtres colons, châtiments corporels et condamnation à mort furent réglementés et soumis à la justice royale, qui sévissait durement aussi à l’encontre des serfs en métropole. « En matière religieuse, l’ordonnance de 1685 rappelle le principe chrétien de l’égalité ontologique de tous les hommes, par-delà leurs conditions sociales et leurs races. Elle prévoit donc le baptême, l’instruction et les mêmes pratiques et sacrements religieux pour les esclaves que pour les hommes libres, en excluant ce qui n’est pas catholique. De ce fait, les esclaves ont droit au repos du dimanche et des fêtes, la possibilité de se marier solennellement à l’église, d’être enterrés dans les cimetières, d’être instruits ». De plus, « les maîtres sont contraints de nourrir et vêtir leurs esclaves et de leur donner chaque semaine […] deux pots et demi de farine de manioc (article 22) ainsi que deux habits de toile par an (article 25) ». Enfin, « les esclaves ont le droit de continuer à être logés et nourris gratuitement lorsqu’il deviennent vieux ou invalides (article 27) ». Rappelons encore que l’abolition de l’esclavage, y compris en Afrique et en Orient, est le fait de Blancs européens. Quant au capitalisme et au néolibéralisme, corrélâts du colonialisme, Werner Sombart et Jacques Attali nous ont suffisamment expliqué à quel point ils étaient l’œuvre des Juifs. Certes, il y eut un colonialisme prosélyte catholique sanglant, et avant lui les conquêtes romaines encore moins aimables, mais tout cela fut largement surpassé en horreur par le colonialisme civilisateur pour imposer l’universel judéo-maçonnique (en Algérie et ailleurs), colonialisme toujours actif aujourd’hui pour la sodometgomorrhisation du monde. Et en matière de colonialisme, les israéliens n’ont rien à envier aux colonies européennes. Venons-en enfin à l’hécatombe des Juifs dans les camps allemands, l’hécatombe des Goyim russes fut autrement plus massive sous la répression judéo-bolchevique… sans que cela soit considéré pour autant comme crime contre l’humanité…

On accuse surtout les Blancs de racisme ontologique, en prenant pour preuve les Lois de Nuremberg. Mais ces Lois de Nuremberg n’étaient que l’arme ultime de survie raciale des Blancs européens face au péril du sansfrontiérisme radical du judéo-bolchevisme. Rappelons que ces lois qui interdisaient le mariage entre Allemands et Juifs, sont rigoureusement les mêmes que celle d’Esdras dans la Torah qui interdisaient le mariage entre Israélites et Goyim, et qui interdisent toujours en Israël le mariage entre Juifs et Goyim. Pourtant, cette volonté de survie raciale blanche européenne fut implacablement condamnée après la seconde guerre mondiale, au Tribunal de Nuremberg, par les vainqueurs judéo-maçonniques, tout aussi sansfrontiéristes que les judéo-bolcheviques. Quel est donc l’objet de cette supposée culpabilité éternelle des Blancs européens imposée par le Tribunal de Nuremberg, culpabilité qui n’est au fond que le symétrique de la supposée innocence éternelle des Juifs, corrélât de leur supposée élection divine éternelle. En réalité, cette supposée innocence éternelle masque et ne peut que masquer une lourde et longue culpabilité, qui commença avec Caïn-Israël le sombre… qui assassina Abel le blanc… Abel le juste comme disait le Christ. Une lourde culpabilité que l’on voudrait faire porter à l’homme blanc.

Mes recherches m’ont amener à découvrir que Caïn est Israël, et que les deux personnages, Caïn-Israël et Abel, ces deux frères, Caïn frère aîné d’Abel, étaient si importants qu’on les retrouve dans plusieurs mythologies antiques et en particulier la mythologie égyptienne, où Caïn, l’inventeur de l’agriculture, est Osiris, le dieu noir, le grand noir, « Ousir Khem Our », lui aussi inventeur de l’agriculture, et où Abel le Blanc juste est Seth, le dieu roux, qui combat chaque jour le Mal personnifié par le serpent Apophis. On accabla pourtant Abel-Seth de tous les maux jusqu’à en faire l’incarnation du mal ! Toujours dans la mythologie égyptienne ! Les mythologies anciennes ne s’embarrassaient manifestement pas de contradictions aussi vertigineuses ! Toujours est-il que Caïn-Osiris le Noir, le grand noir, après le meurtre d’Abel-Seth, fut maudit par Dieu et se mit à haïr tout ce qui pouvait évoquer Abel-Seth, sa noblesse d’âme, son esprit de justice et bien-sûr sa blancheur de peau, d’autant que la fameuse marque de Caïn, marque de sa malédiction, était sans aucun doute une noirceur de peau (ce que confirme le Caïn de la mythologie sumérienne, le dieu Enki, roi des sumériens, peuple aux têtes noires, « nisi zalmat go-ggadu »). Ainsi, sous la plume des scribes au service du roi Osiris, son frère cadet Seth devint l’incarnation du mal ! La haine inextinguible de l’homme blanc après Nuremberg n’est que l’écho de la haine inextinguible de Caïn-Israël le Noir envers Abel le Blanc. La descendance de Caïn-Israël survécut au Déluge, par le biais de Nahamma, femme de Noé. Parmi la nombreuse descendance de Caïn-Israël, un tout petit nombre d’Israëlites croisa le chemin des Judéens, le résultat de ce croisement très conflictuel fut le judaïsme… les Judéens descendaient probablement, en partie, de Abel, puisque Esaü-Edom, le frère de Jacob, était roux, comme Seth-Abel, et comme pour Seth-Abel, les scribes lui firent endosser le rôle du méchant ; chez les rabbins aujourd’hui Edom est le nom de Rome, de l’Europe… Quant au roi-prophète judéen David, le grand unificateur, il était blond, ou roux, selon les exégètes, et fut traité de meurtrier et d’adultérin, dans le second Livre de Samuel. Entre le royaume d’Israël et le royaume judéen, le conflit fut très violent, la corruption d’Israël fut dévastatrice. Et quand souffla à nouveau l’esprit d’Abel le juste par la voix du Christ, celui-ci fut sacrifié par ceux-là mêmes qu’il voulait sauver, les descendants de Caïn-Israël.

C’est en sauvant l’esprit de justice et de vérité d’Abel le Blanc que sera sauvée accessoirement sa blancheur raciale. Il faut sauver l’essentiel pour que l’accessoire soit éventuellement sauvé. Les suprémacistes blancs qui ont pleinement l’esprit de Caïn voudraient conserver la blancheur d’Abel, cela est absurde, vain et voué inéluctablement à l’échec. Qu’est-ce que l’esprit de Caïn ? C’est d’accorder toute l’importance au charnel, à la puissance matérielle et aux réalisations monumentales de l’orgueil humain… À Sumer, Caïn-Israël-Enki et sa lignée maudite furent les bâtisseurs de la première cité fortifiée, de la première industrie (Tubal-Caïn fut le premier forgeron), du premier temple colossal et du premier palais royal fastueux, toute cette politique architecturale de la grandeur et de la puissance fut imitée par les civilisations qui suivirent ; ces suprémacistes blancs nostalgiques de la grandeur européenne ne sont au fond que les serviteurs acharnés de l’esprit de Caïn-Israël, ennemi mortel de l’homme blanc Abel, et de l’homme blanc en général. Est-ce à dire que les suprémacistes blancs sont les ennemis de la race blanche européenne ? Eh bien oui ! La race blanche européenne ne sera sauvée que lorsque ses chefs adopteront pleinement l’esprit d’Abel, le plus pur esprit de la race aryenne, « arya » voulant simplement dire « noble » en sanskrit, noblesse d’âme, d’esprit et de cœur. S’il y a eu une race aryenne, ce ne peut être que la lignée d’Abel, une lignée spirituelle plus que charnelle, étant entendu que la pureté spirituelle n’est pas déterminée par une couleur de peau, et que, inversement, la pureté spirituelle ne se matérialise pas systématiquement en blancheur de peau, il s’en faut de beaucoup, il n’est qu’à lire les ignominies dans lesquelles vivaient les anciens Celtes et Germains racontées par les auteurs Grecs et Latins de l’époque. Ne s’attacher qu’à la race charnelle est le fait d’une bassesse d’âme, si caractéristique des Israélites, et des suprémacistes donc, blancs ou noirs finalement.

Charger d'autres articles liés
Charger d'autres écrits par leblogdelotfihadjiat
Charger d'autres écrits dans Non classé

Laisser un commentaire

Consulter aussi

La négation jusqu’à la perdition, par Lotfi Hadjiat

    Cela fait vingt ans qu’on me dit que mes écrits sont denses, mais la vie ne …