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La symphonie des criminels, Lotfi Hadjiat

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Aimer la beauté c’est bien, être aimé de la beauté c’est mieux.

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Ce qui maintient les hommes en vie c’est la bouleversante beauté des femmes, et ce qui maintient les femmes en vie c’est d’être enfin bouleversée par un homme.

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On ne désire jamais être heureux, on ne désire toujours qu’une image du bonheur.

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Accomplir son destin ou être heureux, il faut choisir.

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N’être que l’ombre de son destin est la seule chose qui au fond nous rend malheureux.

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Voici venu l’automne de l’humanité… sauf que ce ne sont pas les feuilles qui tombent mais les masques…

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L’Éternel n’est pas libre, Il ne choisit pas entre bien ou mal, Il est le bien. Mais l’homme est libre… et sa liberté est une déchéance morale, un exil, une tragédie. Être libre ou être uni à l’Éternel, il faut choisir. On est asservi à ce choix. On n’est pas libre de ne pas choisir.

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le sens profond de la liberté nous sera enfin dévoilé lorsqu’on ne sera plus libre de choisir !

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Vouloir s’accaparer la lumière divine c’est déjà s’en séparer.

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Le plus dur pour un croyant c’est de vivre pour faire triompher la lumière divine tout en sachant que la lumière divine n’a besoin de personne pour triompher !

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Les « musulmans » seront sans doute les derniers à reconnaître le Messie… parce qu’il se sera lavé l’oreille gauche avant l’oreille droite…

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Les conspis voient la Bête de l’Apocalypse arriver, les anti-conspis cherchent la petite bête.

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La vocation de la vérité est d’éclater.

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Le pire ennemi du peuple ne peut pas gouverner le peuple, et pourtant il le gouverne.

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Nos gouvernants ne sont que les exécutants d’une industrie mondiale du meurtre qui sans arrêt nous hurle médiatiquement aux oreilles qu’elle veut sauver l‘humanité… Telle est la plus abominable engeance qui souille la belle Terre, depuis si longtemps…

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Les justiciers ne sont pas avocats, ceux qui font triompher la justice ne sont pas avocats, Jésus-Christ n’était pas avocat. Le rôle de l’avocat est de permettre au condamné à mort de respirer un peu mieux avant qu’on lui tranche la gorge. C’est tout. Sauf exceptions…

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L’asservissement obstiné à un corps dogmatique procède d’un asservissement au corps, à la chair…

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La chair est une barrière, une barrière douce et séduisante, une profusion de promesses d’amour aux reflets chatoyants et suaves, mais une barrière quand même, une barrière à la plus pure fusion des âmes, fusion à laquelle aspire toute âme, fusion éternelle qu’on appelle… Dieu.

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Dieu n’a pas de doctrine, c’est sans doctrine qu’Il nous guide.
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Même les moutons qui vont à l’abattoir ont une religion, une religion qui les « abats »…
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Entendez-vous dans le silence la symphonie des criminels qui retentit à pas voilés pour injecter dans nos angoisses une fable habile pour en finir.

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Un commentaire

  1. Farid Soumari

    29 décembre 2020 à 4 h 36 min

    Je peux me permettre d’en ajouter ?

    L’idée de la mort est insupportable pour les scientifiques, si il y’a un après la mort, les connaissances scientifiques ne nous servent plus à rien parce qu’il ne s’agira plus de biologie mais de vie immatérielle.

    Matériellement parlant la science peut désormais répondre à la question « pourquoi existe-t-on ? » « ou « qu’est-ce que le bien ? ». Emmanuel Marcon (scientifique) : « Un vaccin contre le Covid-19 doit être vu comme un bien public mondial, un vaccin pour les peuples »

    Un neurochirurgien de renom qui a vécu une expérience de mort imminente confirme qu’il y’a bien une « vie après la mort ». La question est de savoir si la communauté scientifique admettra qu’ils ne sont plus une protection contre la peur du néant.

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