Je tenais à vous dire au milieu de la fureur et de la confusion que votre combat pour sauver les enfants de leurs bourreaux gouvernementaux et institutionnels est héroïque, chère Marie-Estelle Dupont. Héroïque comme le combat d’Achille pour sauver Hélène de ses ravisseurs troyens. Votre détermination aussi inflexible qu’élégante aux prises avec ces hyènes perfides et ces serpents pervers me réjouit. Mais c’est avec beaucoup de tristesse que je vois la majorité des européens obéirent à leurs bourreaux docilement et en silence en poussant leurs enfants à obéir tout autant jusqu’a leur inculquer que l’obéissance au bourreau est une vertu ! Socrate a bu la ciguë pour qu’on en arrive là… Lycurgue a mis fin à ses jours pour ça… Le Christ a été crucifié pour que le règne de l’absurde advienne dans toute sa brutale cruauté. À quoi bon le divin Mozart face à Jean Castex. À quoi bon la Chapelle Sixtine… le céleste Vivaldi… la joie beethovenienne… À quoi bon la fiévreuse interprétation de la première ballade de Chopin par Horowitz au Carnegie Hall face à Fabius père et fils… à quoi bon la Pavane pour une infante défunte face aux crimes de masse institutionnalisés… à quoi bon l’Éthique à Nicomaque face à Mc Kinsey et à l’empoisonnement scientifique et « légal » des peuples… les Enneades de Plotin face à l’empereur parasite Bill Gates… Erasme et Pascal face à la toute-puissante démoniaque enragée Ursula von der Leyen… Non mais vraiment à quoi bon la grâce de Noureïev et Margot Fonteyn dansant sur la sonate en si mineur de Liszt face au fumier professoral Gilbert Deray. À quoi bon la longue épopée poétique de Dante et Béatrice face à l’ordure doctorale Laurent Alexandre. Toutes ces merveilles du cœur et de l’esprit étaient donc vaines. À quoi bon le palais des Doges et la place Saint-Marc au coucher du soleil face à l’acharné au crime Anthony Fauci, conseiller santé de la Maison Blanche. Le triomphe total de la gangrène financière aura eu raison de Léonard de Vinci et de tout idéal. Si le mystique Funérailles de Liszt n’a pu élever l’humanité alors rien ne l’élèvera. Si le Liebestod d’Isolde n’a pu adoucir la sauvagerie humaine alors rien ne l’adoucira. À quoi bon toute la Renaissance italienne face à Mario Draghi, Justin Trudeau et Julie Snyder… À quoi bon les sonnets de Pétrarque à Laure face à Macron et Brigitte… À quoi bon Platon face à cette tête de cafard écrasée de Raphaël Enthoven bavant compulsivement sa haine mais célébré à grand renfort médiatique comme un grand philosophe… À quoi bon combattre pour l’humanité quand l’humanité est morte, enterrée et oubliée sous le soleil de l’Occident, sauf à la ressusciter. Plus rien n’a de sens et tout est à réinventer, le lien, la confiance, l’idéal, le beau, le sublime, la foi… la foi commune comme disait Dostoïevski… Mais à quoi bon Dostoïevski avec Jean Castex. Avez-vous remarqué comme « Castex » sonne comme le claquement du verrou d’une cellule de prison qui se ferme. Ce type est au minimum totalement possédé par le Démon ; Dieu lui-même ne voudrait pas l’exorciser. Je crains que le Messie lui-même décide de ne finalement pas revenir sur Terre en voyant les masses en extase devant la gueule toujours plus sinistrement satisfaite d’Emmanuel Véran, ou de Jean Macron, ou d’Olivier Castex. Ces trois têtes de Cerbère sont interchangeables dans leur abomination. Plus ils détruisent la vie et plus ils sont satisfaits et célébrés par la vermine médiatique. L’infâme culte des réseaux occultes exulte dans le tumulte de ses dévastations et de ses insultes. Mais ces démons déchaînés ne peuvent pas détruire la vie invisible, la vie qui survit après la mort, la seule vie véritable au fond. Ces démons ricanants se doutent-ils de l’enfer invisible qui les attend…, ricanera bien qui ricanera le dernier quand sonnera le glas de leur infâme machination. Il n’y a de vie qu’invisible, il n’y a d’amour qu’invisible. Mais pour l’heure, si les anges ne nous viennent pas en aide, pourrons-nous, hommes et femmes de bonne volonté, ressusciter l’humanité ?… Une infinie patience sera notre pain quotidien, ou nous mourrons affamés. Quels rituels inventerons-nous pour conjurer nos abîmes de désespoir ? Quels débris de sagesses réchaufferont nos cœurs en miettes ? Pourrons-nous bâtir un pont au-dessus du gouffre ensanglanté de la grande désolation ? Cheminerons-nous jusqu’à épuisement vers l’horizon inaccessible de nos absolutions ?… Vous allez me dire que tout ça n’est que poésie. Et si la vérité était poétique. Si le salut était poétique. Si l’essence de la conquête était poétique, la grande et sainte conquête de la vie. Alors ce combat infernalement politique ouvrirait la plus belle aurore de l’humanité. Mon incurable et increvable optimisme me fera croire jusqu’à mon dernier souffle que le Verbe triomphera de la Force. Pour tout vous dire, il en a déjà triomphé puisqu’il la précède. Le royaume du Verbe sur Terre est inéluctable, guerre en Ukraine ou pas. Notre combat se métamorphose déjà, édifiant dans cette nuit expiatrice le temple de Vérité sur les ruines imminentes du Mensonge. Le Grand Temple de la guérison de l’humanité, le Grand Sanctuaire de la joie où finira son exil.
Poétiquement vôtre
Viktor von Berg
24 janvier 2022 à 18 h 59 min
Avant la « pandémie Covid », mon curé nous avait annoncé qu’il y allait avoir un évènement mondial qui ferait voir à chacun d’entre nous le niveau où il en est de son lien avec Dieu. Et bien force est de reconnaître que l’abbé ne s’était pas trompé et que l’humanité a été bien scindée en deux, la séparation du bon grain de l’ivraie.
Car comme vous le décrivez très bien dans cet article, les portes de l’enfer se sont bien entrouvertes et les lâches, les couards, les soumis ont tout de suite adhéré aux mensonges du père du Mensonge. Il se trouve que parmi tous ceux que vous citez des thuriféraires du covidisme et de sa sainte solution, la Piquouze, pas un ne trouve grâce à mes yeux, que ce soit la Von der Layette ou le « cafard écrasé » Enthov’Haine, etc…
Le gouvernement qui est sensé me défendre et respecter mes libertés a décidé de m’emm… mais je reste debout implorant la Lumière de Dieu qui peut se transformer en Feu purificateur pour ceux qui s’en moquent.
Nous sommes dans l’instant terrible où toutes nos croyances sont mises à rude épreuve par un Ennemi tellement sûr de lui.
Il nous faut tenir bon car c’est vraiment le Temps des Révélations…
Bien à vous. Viktor
leblogdelotfihadjiat
25 janvier 2022 à 17 h 41 min
Merci Viktor,
Je suis persuadé que ce château de carte de mensonges qui voudrait toucher le ciel finira par s’effondrer. Et plus tôt qu’on ne le pense.
À bientôt
dj34450
11 février 2022 à 5 h 26 min
« Le Christ a été crucifié pour que le règne de l’absurde advienne » : il n’est pas bon de se servir du don suprême de Jésus sur la Croix, dans un pamphlet antivax.
Le Christ a donné sa vie librement, offrande de Dieu aux Hommes, pour que notre regard sur Dieu soit converti dans l’Amour. Dieu n’est qu’Amour et l’Amour rejeté meurt sur la Croix, incapable de se défendre, de s’imposer, faible et fragile comme l’Amour véritable… Le véritable visage de Dieu est ici révélé.
Respectueusement.
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