La science moderne ne nous sauve pas de l’aliénation du sujet dans l’objet, au contraire, elle nous y enfonce résolument !
La science moderne postule que tout phénomène physique répond à des nécessités logiques, mais ce postulat n’a jamais été démontré. Et sur ce postulat, la science moderne a établi qu’il n’y a connaissance que par l’objet de connaissance, objet répondant à des nécessités logiques. Le sujet de la connaissance est exclu de ce postulat, ou plutôt il est lui-même réduit à un objet, c’est-à-dire que le sujet est éliminé, sacrifié sur l’autel de la connaissance objective. Cette science moderne affirme qu’un ordinateur ou un robot peuvent « connaître », c’est-à-dire traiter des informations et les synthétiser. Tel est le culte criminel de l’objectivisme exclusif de cette science.
La propagande moderne est très habile en cela qu’elle réussit à faire passer le culte de l’objet pour le culte du sujet, un sujet prétendument libre et autonome pour faire progresser la science. Mais ne nous y trompons pas, le sujet étant réduit à un objet, il s’agit bien du culte de l’objet !
L’aliénation du sujet dans l’objet aboutissant à la destruction du sujet, telle est l’histoire de la science aboutissant en toute logique au transhumanisme. Corruption ou pas corruption. Les forces du mal ne font qu’arrimer l’humanité à l’aliénation scientifique sous le prétexte de la liberté de la science, en étouffant par la corruption toute perspective d’émancipation du sujet. Malheureusement, en mettant fin à la corruption, on ne mettra pas fin pour autant à l’inexorable logique destructrice de la science moderne.
L’objet de connaissance est sans issue pour le sujet tant que cette connaissance ne s’oriente pas vers le sujet de la connaissance.
Le sujet est condamné à une pensée sujette, assujettie… assujettie à la crainte de la mort, par exemple, ou assujetti à sa sécurité, ou à son intégrité physique ou psychique… à la nécessité de cette intégrité, dont il tire des nécessités logiques… L’objectivisme scientifique relève de la pensée sujette, qui elle-même relève tout simplement de la pensée du corps, des instincts de conservation du corps, le fameux conatus de Spinoza. Pourtant, certains hommes aspirent à une pensée désassujettie : une pensée souveraine, qui abolirait le sujet pour en libérer le souverain.
L’aliénation scientifique du sujet dans l’objet est le prolongement de notre aliénation au corps.
On ne peut sortir de l’aliénation scientifique qu’en passant de l’objet de connaissance au sujet de la connaissance, en tentant de désaliéner le sujet jusqu’à le rendre souverain vis-à-vis de l’objet, en considérant que le sujet est lui-même le résultat d’une aliénation : l’aliénation du souverain à travers le sujet.
L’aliénation du souverain dans le sujet précède l’aliénation du sujet dans l’objet, celle-ci étant le corrélât de celle-là.
La nature humaine profonde ce n’est pas le sujet mais le souverain en lui, que le sujet obstrue considérablement, par orgueil, en tentant de se l’approprier, mais le souverain n’appartient pas au sujet.
Le sujet tente de s’approprier le souverain en se le représentant par des notions, des idées, des concepts. Mais toutes ces représentations rationnelles, logiques, philosophiques, métaphysiques, sont vaines car le souverain est inappropriable. Ces représentations rationnelles, procèdent de la pensée du corps, de l’instinct du corps qui veut s’approprier toujours plus pour croître toujours plus.
À chaque fois que le sujet tente de se représenter le souverain en lui, il s’écarte de la souveraine présence, car cette présence est irreprésentable. Et il s’écarte donc de la vérité.
La dialectique du sujet et de l’objet procède par représentations toujours plus rationnelles mais sans jamais en sortir ; la dialectique du souverain et du sujet procède par dé-représentations.
Le sujet tente de se représenter le souverain, cet inconnu, et il tente de se le représenter rationnellement pour se mettre en sécurité de lui, en tentant de se mettre en sécurité de la mort. Voilà la dialectique rationnelle qui n’est qu’une dialectique sécuritaire. La logique rationnelle n’est elle-même qu’une logique sécuritaire, vérificatrice, une pensée du corps. Il est donc absurde de vouloir combattre la logique sécuritaire par la logique rationnelle, car on ne ferait qu’accentuer le penchant sécuritaire !
Lorsque le sujet devient soucieux de sa sécurité, il devient rationnel, objectif, hystériquement, jusqu’à faire du sujet un objet, adéquat à toutes les mesures sécuritaires, jusqu’à détruire finalement le sujet.
L’aliénation scientifique n’est rien d’autre que l’aliénation du sujet à sa sécurité jusqu’à la destruction inexorable du sujet.
On ne peut combattre la logique sécuritaire du sujet rationnel qu’en s’en affranchissant par une logique émancipatoire qui mène le sujet vers sa souveraineté, en abolissant finalement la sujétion, l’assujettissement.
La logique émancipatoire vise à dé-représenter les représentations rationnelles qui entravent, qui résistent au souverain en le sujet selon une stratégie de résistance, une stratégie sécuritaire, une stratégie de défense. La logique émancipatoire ne peut donc se déployer que selon une stratégie de conquête, par la conquête des résistances sémantiques et logiques constituées par les résistances rationnelles. Une conquête philosophique qui se mue en conquête poétique, par exploration et transformation du sens, jusqu’à vaincre les résistances objectives.
La logique rationnelle sécuritaire est vérificatrice, elle vérifie le sens dans le monde sensible, elle contrôle ce sens désespérément… La logique émancipatoire crée du sens jusqu’à le rendre sensible, elle le crée en transformant les résistances sémantiques et logiques jusqu’à le rendre effectif.
Il n’y a finalement pas de résistances matérielles à notre émancipation mais des résistances objectives. La matière primordiale n’a pas de forme, c’est une énergie qui épouse toutes les formes de résistances (et toute forme est une forme de résistance), des formes de résistance infime jusqu’aux résistances objectives, objectivées par le sujet, qui résiste donc objectivement au souverain. Ces résistances objectives constituent la matière objective.
La matière primordiale n’est que l’écume de la souveraine présence. Cette matière primordiale tout comme la souveraine présence ne procèdent d’aucune nécessité logique. La matière dite « objective » est la matière primordiale objectivée par le sujet, qui y voit des nécessités logiques…
La résistance objective est la plus forte résistance que peut produire le sujet, l’aboutissement ultime de toutes ses résistances, qui se matérialise par le corps physique. On ne peut donc conquérir cette forte résistance qu’en commençant d’abord par la plus infime résistance, la résistance fictive, puis la résistance sémantique et logique, et enfin la résistance objective (constituée des résistances précédentes). Du point vue de cette conquête, il n’y a pas de nécessités logiques pré-existantes, mais il y a plutôt des résistances, des rapports de force, qu’il s’agit de transformer, de résoudre…
Le sujet ne peut pas connaître le souverain, le connaître par représentations, il doit admettre cet inconnaissable, cet inconnu, ce souverain inconnu, en n’y résistant plus, en l’accueillant et en reconnaissant enfin sa souveraineté. Le sujet ne peut donc pas connaître le souverain mais peut le reconnaître, s’y reconnaître. L’orgueil de la connaissance doit céder à l’humilité de la reconnaissance.
L’orgueil est la première aliénation, le premier égarement, la première perdition.
Tout homme a une histoire, tout animal, toute plante, toute pierre, tout objet, toute forme, toute forme de résistance, toute résistance, tout rapport de force, toute force, ont une histoire. Tout a une histoire excepté la souveraine présence, présente à toute les histoires, tout en n’appartenant à aucune histoire. Chaque histoire étant une manifestation de cette présence.
La souveraine présence se déploie sans fin mais ne se meut pas. Elle n’a ni début ni fin, elle est partout et nulle part en particulier. Elle précède la naissance du temps et de l’espace, et la naissance du monde. Ces naissances ne sont qu’une histoire parmi d’autres. Aucune histoire quelle qu’elle soit ne peut altérer la souveraine et bienveillante présence. Elle est présente à toute émotion, tout sentiment, toute pensée. À quoi bon la chercher, elle est présente à toute recherche ! Présence de toutes présences. Pour l’approcher, il s’agit seulement de ne plus s’agiter pour l’écouter enfin, écouter le chemin qui mène à elle.
Christophe
9 mars 2023 à 16 h 59 min
Je partage pleinement.
Donc, ma question : fort de ce constat à propos de l’aliénation scientifique, pensez vous qu’il existe alors une ontologie des mathématiques ?
La Souveraine présence ?
https://dokumen.pub/ontological-mathematics-for-the-curious-an-introduction-to-ontological-thinking-s-7030825.html
ou
https://fr.scribd.com/book/479616503/Euler-s-Formula-and-Special-Relativity-The-Deep-Origin-of-Space-and-Time
De la formule de Euler, à la transformation de Fourier nait l’univers manifesté.
Pour savoir d’où l’on parle, c’est du point de vue de l’illuminisme pythagoricien porté par le collectif illuministe alias Mike Hockney, et ses « god series » en 32 volumes :
https://sacredcause.com/category/dr-thomas-stark/
En d’autres termes, le noumène est le plan mental, et ce plan mental est de nature mathématique ???
Les récents progrès de la « science » ont suivi ceux des maths, formellement !
Seules les maths donnent un semblant de vraisemblance à la science.
Dieu n’est que le Principe de la Raison Suffisante, il n’est pas, il devient avec l’évolution de la conscience émergée.
En tant que Monades immortelles (Leibniz), nous sommes partie prenante de l’aventure.
L’Univers est d’abord pensée.
Je vous pose cette question, sachant par ailleurs que le mythos de Sophia est tout aussi cher à mon coeur qu’à J L Lash pour les mêmes raisons que lui :
https://magie-tantrique-gaienne.com/
leblogdelotfihadjiat
9 mars 2023 à 20 h 11 min
Merci Christophe pour votre commentaire.
Tous les chercheurs de vérité cherchent tous la même chose : l’origine de toutes les origines.
Pour ma part, cette origine ultime est purement spirituelle et n’a rien d’objectif. Je veux dire que ce « purement spirituel » ne peut s’appréhender que subjectivement. Tous nos efforts intellectuels pour nous représenter ce « purement spirituel », tous nos efforts pour l’objectiver un tant soit peu sont donc vains. Car toute représentation – quelle qu’elle soit (mathématique, philosophique, logique, conceptuelle… ) – ne peut que nous éloigner de ce qu’elle prétend représenter : cette présence spirituelle. Cette présence est effectivement souveraine en cela qu’elle n’est déterminée par aucune cause, ni par l’espace, ni par le temps, ni par aucune idée. Cette présence est donc effectivement indéfinissable, informulable par le langage logique si subtil soit-il. Cette présence est seulement intuitionnable par le cœur et l’esprit, ou peut-être exprimable par le langage poétique. Au tout début de l’humanité adamique, le langage était poétique, pas logique. Sémantiquement, le poétique à précédé le logique. Adam prêchait l’arbre de vie (vie spirituelle) par un langage poétique. Chez les hindouistes, Brahmâ le créateur est appelé « le première poète », Âdivaki, qui fit passer l’inarticulé « anrita » à l’articulé « rita ». La création n’est pas logique, elle est poétique. C’est donc par le verbe poétique que s’opère la création. L’erreur de Platon et de Plotin fut de considérer que le verbe créateur (la seconde hypostase) est rationnelle, logique. L’aliénation scientifique est fondée sur cette erreur. On pourrait même parler d’aliénation philosophique ! Finalement le langage logique n’est qu’une tentative vaine de formaliser, de saisir, les vérités suggérées poétiquement, des vérités insaisissables logiquement, objectivement. La sagesse elle-même (Sophia) ne s’exprime sans doute que poétiquement. La rationalité est une déchéance de Sophia.
Christophe
10 mars 2023 à 16 h 22 min
Merci, oui, je partage.
LA poétique, si bien illustrée par Novalis ou Goethe et quelques autres si chers à mon Coeur.
Je rêve de ce moment, où l’homme, débarrassé du langage articulé, sa principale tare, s’exprimera par les couleurs de sa robe, communiquera en conscience la fréquence de ses émotions, la vibration de son âme, et la plus grande des complexités intellectuelle par la plus élémentaire des simplicités.
Une poétique intégrale étendue au caractère hyper-dimensionnel de l’anthropos générique !
Mais pas par le langage articulé, cette limitation qui nous entrave, que le jeu des perles de verre de Hesse a tenté de dépasser.
Cependant, jeter par dessus bord la Raison, la logique, pour l’INTP que je suis, n’est pas satisfaisant, au regard de ce que nous découvrons chaque jour par le truchement de ces béquilles technologiques qui augmentent nos sens.
Je ne parle pas même là de « science », mais seulement de l’extension du domaine de l’observation.
Aussi, je me permets de vous faire découvrir (si ce n’est déjà fait), quelques unes de mes recherches.
1/L’Univers est une mer de plasma dont Anthony Peratt du LANL a posé les bases :
https://ia800702.us.archive.org/29/items/AnthonyPerattPhysicsOfThePlasmaUniverse_201901/Anthony-Peratt–Physics-of-the-Plasma-Universe.pdf
2/Cette mer de plasma est polarisée :
https://www.youtube.com/watch?v=7sxF_srQwpU
L’Univers observable est un dipôle toroïdal polarisé.
Un tore !
Un ruban de Moebius ?
Tout est connecté, rien n’est isolé.
3/Cela vient confirmer en 2020, les conclusions des travaux de la CIA menés sur le psychisme en 1983 :
https://documents2.theblackvault.com/documents/cia/CIA-RDP96-00788R001700210016-5.pdf
« La Conscience Holographique Universelle crée le Cerveau Holographique de l’Homme ».
4/L’Univers est énergie, information et vérité :
https://thedailyplasma-blog.translate.goog/2022/02/18/the-holy-trinity-energy-information-and-truth/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
L’Anthropos est une déclinaison fractale de la Lumière primordiale encapsulée dans un champ d’ondes scalaires.
5/Miles Mathis a découvert que l’équation de Newton EST l’équation de l’unification de champs, ce qui lui permet de revoir toutes les maths depuis le XVIIème :
http://milesmathis.com/index.html
Il a découvert que Coulomb renvoie à Newton et vis et versa.
Sous la mer de plasma cosmique, le champ de charge luminifère primordial.
A Peratt l’a aussi remarqué, mais n’a pas été aussi loin que Mathis.
6/Les illuministes pythagoriciens disent le photon primordial.
L’univers primordial sous-jacent réduit à une sinusoïde photonique dont tout dérive.
Bien que chacun s’attaque à l’ouvrage par le biais de sa lorgnette personnelle, TOUS arrivent à cette conclusion que Noùs sommes de la Lumière gelée !
Il me semble donc que Noùs devons Noùs efforcer de devenir des cristaux qui la synthétisent en conscience.
A ce stade, évidemment, …..
De la dinguerie généralisée, le drame cosmique de notre époque :
Le champ magnétique terrestre s’effondre depuis 300 ans, et maintenant depuis 30 ans à la vitesse d’un dragster en temps géologique.
5% tous les 10 ans, c’est énorme.
Toutes les planètes de notre système, et mêmes les étoiles proches de nous sont concernées.
Notre système solaire, de façon cyclique (12 000 et 6000 ans) traverse la zone magnétique nulle du plan galactique poussiéreux, qui finit par provoquer une micro novae de notre étoile.
Les poussières galactiques vont s’accumuler autour de la couronne solaire, jusqu’à empêcher son métabolisme, avant l’explosion.
Les 2 pôles magnétiques actuels cavalent vers le futur pôle nord géographique qui se fixera dans le golf du Bengale.
La croute terrestre normalement agrippée à l’asthénosphère par l’effet MHD glissera vers l’équateur en quelques heures, à due proportion de l’effet de torque provoqué par les calottes polaires décalées de l’axe de rotation du fait de l’inclinaison de la terre de 23°5.
Les océans et l’atmosphère ne bougeant pas relativement à la croute, des vagues kilométriques, des vents supersoniques balaieront la terre comme il y a 12000, 24000, 36000, 48000, 60000 et 75000 ans.
Tout l’agenda globaliste en cours dérive de ce futur !
Tout devient logique, l’IA sélectionnera les transhumains qui monteront dans l’arche, qu’elle gérera.
Utérus artificiels, protéines d »insectes, ….. la vie en circuit fermé.
Dans les années 60 nous dit Chan Thomas, des scientifiques ont soumis des souris aux conditions magnétiques qui prévalent au-delà des ceintures de Van Allen pour voir si l’homme pourrait survivre à la privation du CHAMP DE VIE ORGANIQUE DE LA TERRE.
Les souris sont devenues violentes, violeuses, cancéreuses, et pour finir cannibales.
Toute la chaine des protéines se rompt !
Les moins empathes d’entre nous, donc les psychopathes de tout poil qui se hissent au sommet des pyramides, deviennent immédiatement les plus cruels, sont pris par l’hubris due à la baisse du champ qui rend nos cervelles totalement dysfonctionnelles et poussent au RAGNAROK GLOBAL.
Dieu n’a pas puni les homes à Sodome pour leur mauvaise conduite, mais les hommes sont devenus dingues (comme actuellement) sous l’effet de la baisse du champ qui nous rend frustres et dionysiaques avant le pole shift.
L’homme interstitiel émergeant cèdera la place à l’homme surrénalien revenant.
Quelques références sur le sujet :
Chan Thomas, the Adam & Eve story :
https://ia800907.us.archive.org/14/items/ChanThomasTheAdamAndEveStoryTheHistoryOfCataclysms1993FullUNCENSORED/%5BeBook%5D%20Chan%20Thomas%20-%20The%20Adam%20And%20Eve%20Story%20-%20The%20History%20Of%20Cataclysms%20%281993%20Full%20UNCENSORED%29.pdf
Le Pentagone :
https://ia803109.us.archive.org/22/items/worldinperiltheorigin/World%20in%20Peril%20The%20Origin.pdf
Synthèse :
https://www.youtube.com/watch?v=ihwoIlxHI3Q&list=PLHSoxioQtwZf1-8QeggXIVdZ-abyJXaO1
Non, les scientifiques ne nous donneront pas effectivement la réponse ultime, mais il me semble que pour le petit train train catastrophique du quotidien de l’anthropoïde depuis les éons, ils ont mis le doigt dans le mille.
La baisse du champ nous rend tarés, brutaux ou amorphes.
Mais n’est-ce pas le meilleur cadeau que la Mère puisse faire à ses enfants chéris, sachant que lors des périodes post apocalyptiques, seuls les plus rustres s’en sortent ?
En commençant par manger les cadavres ? Habitudes conservées par les « peuples premiers », en fait les anciens civilisés qui ont décidé de rester à l’état de nature après le dernier cataclysme ?
Il n’est pas très étonnant que mêmes dans les hautes sphères, on commence à envisager de manger les morts, l’hubris prend tout le monde, et surtout ceux qui se pensent intelligents.
Nous venons collectivement de brimer et torturer pendant le coque-vide nos enfants de la façon la plus abominable, nous avons laissé toute la jeunesses du berceau à la FAC se faire éparpiller façon puzzle et se faire piquer par un brouet science-fictionnel dont seule la DARPA connait le secret.
Nous avons d’abdiqué notre humanité, nous venons d’involuer en sacrifiant notre futur, notre jeunesse !
Après les souris cannibales, les lemmings suicidaires !
Cette involution luciféro-ahrimanienne est déclinée depuis 15 ans sur le site du Lucis Trust :
https://www.lucistrust.org/fr/the_electric_bridge
Le buziness plan du futur de l’humanité par les théosophes installés à l’ONU en 4 pages, incluant la mutation de l’hominidé par le carbone, et donc l’oxyde de graphène nanométrique magnétisé !
L’HUBRIS !
Dans notre contexte géophysique élargi, il est malgré tout NORMAL de voir les hominidés se conduire de la sorte !
Bien à vous.