Le martyre du peuple palestinien me fait penser à un autre martyre, celui de Jésus. Les nations, les hommes et femmes de bonne volonté sont impuissants à stopper ce martyre palestinien, comme les premiers chrétiens furent impuissants à stopper le supplice de Jésus, et lui éviter la crucifixion. Sainte Veronique ne put que lui essuyer le visage sur le chemin du Calvaire. Et Sainte Marie ne put que consoler son fils en acceptant l’inexorable accomplissement de son sacrifice messianique… pour la rédemption… Mais, me direz-vous, à quelle fin les Palestiniens sont sacrifiés ? Dans la plus terrible cruauté, il apparaît qu’ils sont sacrifiés pour dévoiler la vérité, la vérité d’Israël, la vérité d’USraël. Aux yeux du monde, le sacrifice du peuple palestinien témoigne que Israël n’est pas la lumière de l’humanité. Car la lumière de l’humanité ne peut pas assassiner en masse l’humanité, assassiner aveuglément les nourrissons, assassiner obstinément les enfants, assassiner résolument les femmes enceintes… Le sacrifice du peuple palestinien révèle aux yeux du monde le véritable nom d’Israël : Caïn, l’ennemi ontologique de l’humanité, l’incarnation de tous les crimes, de toutes les perversions, de toutes les transgressions… Mais la propagande USraélienne s’acharne et s’acharnera encore jusqu’à la dernière heure, la dernière seconde, pour justifier que la lumière israélienne de l’humanité assassine des nourrissons pour le salut de l’humanité. Ce fut la même propagande qui justifia le vaccin anti-Covid pour le salut de l’humanité… et les non-vaccinés témoignent de ce messianisme scientifique criminel. Le martyre du peuple palestinien témoigne que Israël et ses alliés sont les ennemis de l’humanité. Il témoigne que les grands philanthropes aux belles cravates et beaux costumes sont les ennemis résolus de l’humanité. La cruauté insoutenable de ce martyre démasque dans la plus grande douleur cette postérité du Serpent à l’œuvre dans les machinations de Netanyahu. Ce martyre démasque les manipulations médiatiques diaboliques qui font passer un bourreau démoniaque pour une victime et un nourrisson assassiné pour un bourreau cruel… Le sang palestinien démasque le Serpent ; rien d’autre ne peut le démasquer. Comme la crucifixion du Christ démasqua le Sanhédrin. Et l’histoire ne semble pas finie, on parle d’énormes réserves de gaz au large de Gaza… convoitées par l’entité sioniste… La lumière sioniste de l’humanité qui combat les ténèbres anti-sionistes, va prochainement s’assombrir. Tout doit s’accomplir et tout s’accomplira, pour édifier l’humanité. La plus grande douleur accouchera de la grâce. Faut-il être fou pour croire encore que la grâce triomphera de la bestialité du Serpent… La folie est l’ultime épreuve de la foi. Ou alors j’ai rien compris, et le roi Éric, le rat Messie, parti à Tel-Aviv, va accomplir ici-bas la Jérusalem céleste à coup de bombardements sur des hôpitaux palestiniens sous le commandement eschatologique de Netanyahu, à qui il demandera d’accélérer la cadence du massacre des nourrissons. Les avocats de Sion ne veulent être payés que par le sang des nourrissons. Ils le hurlent sur les plateaux de télévision ! Ces démons assoiffés de sang seront démasqués, ils le sont déjà. La justice divine devrait donc advenir maintenant. Jamais la foi n’a été aussi douloureusement éprouvée. Restons vivants.
Viktor von Berg
29 octobre 2023 à 19 h 31 min
Je n’ai pas de mots devant les grandes souffrances et les ignobles injustices mais une sourde colère. Comment dormir sereinement et vaquer de même à ses occupations quotidiennes sans penser à ces tonnes de bombes qui viennent « punir » un peuple? Punir des nourrissons, des femmes enceintes, des vieux impotents!? (cela vaut pour tous les conflits en cours, hélas).
Le sionisme acoquiné avec l’interprétation élitiste et racialiste de l’Ancien Testament est une dinguerie. Il n’y a pas de peuple élu et le Christ a appelé tous les hommes au Banquet céleste. Ceux qui usurpent la Parole Divine à leur profit et pour justifier leurs exactions, je ne les plains même pas: ils récolteront ce qu’ils ont semé…