J’ai rêvé de sel cette nuit, beaucoup de sel. Heureux ceux qui goûteront au sel de la vie, et plus encore, au sel de l’esprit. Vous allez me dire, qu’est-ce que le sel de l’esprit au milieu du sang versé, de la fureur scientifique assassine, de la criminalité médicale, des vermines au couteau qu’il faudrait abattre mais avec qui on nous oblige à vivre ensemble ?… C’est vrai, qu’est-ce que le sel de la vie au milieu d’enfants affamés, assoiffés, déchiquetés et brûlés vifs sous des bombardements quotidiens démocratiques les plus moraux du monde ?… Au milieu de la nuit, des ruines et des cadavres, la colère infinie… et le sel des larmes.
Nous n’attendons que ça, nous les lucides, nous n’attendons que le jugement. Nous ne demandons ni science, ni connaissance, ni miracle, ni sagesse, ni vérité, ni plaisirs, ni conforts… nous n’attendons que le jugement. Le Grand jugement. Nous ne restons vivants que pour le Grand jugement.
Dans notre besoin de justice, il y a au fond un besoin de punitions infligées, au fond duquel il y a un besoin de violence infligée. Benyamin, Bernard-Henri, Jacques et Georges, écartelés sur la place publique avant d’être jetés dans une grande cuve infestée de piranhas, c’est bien. Ligoter Emmanuel, Jean, Olivier et Bruno, avant de les balancer dans une immense cuve d’eau bouillante traversée par un courant électrique de 900 000 volts, c’est bien aussi. Mais le meilleur, le nec plus ultra reste sans doute, sous un ciel bleu merveilleusement ensoleillé, de jeter Bill, Klaus, Anthony, Ursula et Albert au milieu d’une large et magnifique piscine infestée de requins blancs. Les requins blancs sont les amis de l’humanité.
On parlait autrefois de « l’idiot du village », bien identifié. Aujourd’hui, ce sont des masses de citadins qui sont devenus idiots du village, croyant à la démocratie et à la bienveillance de l’État.
Faire des enfants non par amour mais pour raison de guerre démographico-raciale, c’est triste. Vraiment triste, pour les enfants surtout. Mais certains trouvent ça très bien.
On nous somme de choisir entre les serpents sionistes et les ânes islamistes. J’ai envie de choisir les héritiers, les véritables héritiers du Christ, qui va d’ailleurs prochainement ressusciter sur les écrans par les soins du grand Mel Gibson, déjà poursuivi par les foudres du Sanhédrin médiatique. Éternel recommencement ? Ou jugement final prochain…
Je ne sais pas si les fanatiques de Sion ont la lumière à tous les étages, mais en revanche ils ont le gaz à tous les étages. Quelle énergie !
Par la voix de son avocat, Gilles-William, l’armée la plus morale du monde nous informe que le plaisir d’assassiner est réservé à l’armée la plus morale du monde.
Au paradis de la vermine, la tuerie de masse est un régal.
Jamais les ténèbres n’ont autant écrasé l’humanité. Et jamais les ténèbres médiatiques n’ont été aussi luisantes et bruyantes. La mort semble triompher partout sans partage. Alors, vouons-nous à notre dernier et ultime combat : restons vivants.
Quel jour terrible sera le jour du jugement. Ce « jour » s’étalera sur plusieurs mois, plusieurs années. Le plus terrible des jours divins. Nul n’y échappera, même ceux que l’on croyait au-dessus de tous soupçons. Chacun devrait craindre ce jour terrible, mais pourtant le monde l’ignore.
Viktor von Berg
23 septembre 2024 à 12 h 17 min
Vraiment au sommet vos aphorismes comme d’habitude;
Ma préférence va au troisième et l’idée de la piscine avec des requins blancs me touche particulièrement; il y a aussi la piscine Lacoste avec des crocodiles…
et au dernier aphorisme.
Mais qu’il est long, long, long le chemin vers Toi, Seigneur et surtout qu’il est interminable, interminable, interminable le moment où adviendra Ta Justice et le jour de Ton Jugement…
Car je n’en peux plus de la veulerie de mes contemporains, des cris des Innocents qu’on massacre au nom de l’Eretz Israël, des magouilles otanesques. Mon sommeil n’est plus serein et tant pis si je dois disparaître avec nos bourreaux mais qu’on en finisse…
leblogdelotfihadjiat
24 septembre 2024 à 11 h 09 min
Oui, Viktor,
Notre foi en la justice divine est mise à rude épreuve face à l’impunité inouïe de Netanyahu. Les maîtres du système actuel le soutiennent mordicus. Ce possédé ne peut malheureusement tombé que lorsque ce maudit système tombera. C’est vrai que la chute de cette gangrène systémique semble interminable. Mais on pourrait bien avoir des surprises aux très prochaines élections américaines. La chute commencera aux États-Unis. L’abominable affaire Puff Daddy sonne comme un signal.
Plus que jamais, restons vivants
À bientôt