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L’esprit du Serpent contre le Saint-Esprit, Lotfi Hadjiat

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La vie n’a de sens que si elle éternelle. Perdre ce sens c’est perdre la vie. Les peuples qui perdent ce sens sont voués à leur perte, à leur disparition, à leur remplacement inexorable ; c’est le cas des peuples ouest européens. Mais alors que parmi ces peuples certains affirment leur existence, leurs valeurs et leur postérité, ils sont qualifiés de racistes par les médias. Accusés de racisme même quand ils enterrent leur fille morte violée et tuée par un clandestin, accusés de racisme parce qu’ils ne veulent pas disparaître, se laisser remplacer, parce qu’ils ne veulent pas mourir. Dans le même temps, Netanyahu n’est pas qualifié de raciste par les médias lors qu’il extermine les Palestiniens, alors que les nourrissons palestiniens déchiquetés sous les bombardements israélites sont accusés de racisme anti-juif (par l’avocate israélite Nili Kupfer-Naouri) ! D’où vient cette impunité effroyablement sans limite de Netanyahu et sa clique ? Tout se passe comme si un réseau mondial tout-puissant régnant sur les nations permettait au chef d’Israël de mépriser les nations jusqu’à les détruire complètement, en toute impunité. Après Gaza, la Cisjordanie, le Serpent israélite entreprend de coloniser le Liban – après avoir assassiné l’illustre Nasrallah -, tout en affirmant vouloir décoloniser le Liban !!! Puis l’Iran sera sans doute le prochain sur la liste. Puis, ça sera peut-être le tour de la Syrie, l’Egypte, etc… Ces réseaux sionistes fanatiques apparemment tout-puissants veulent absolument faire entrer en guerre l’OTAN contre le bloc eurasiatique (soutien de l’Iran et de la Syrie), pour, à la faveur du chaos ainsi provoqué, réaliser leur Grand Israël (ils n’y sont pas parvenus avec la guerre d’Ukraine), ou, si Israël périt, faire périr le monde dans une guerre mondiale finale, par vengeance. Israël est devenu le totem devant lequel les nations se soumettent ou se positionnent. Un totem qui maintient sa domination par un tabou, le tabou des tabous : la question du racisme.

Les peuples qui ne veulent pas mourir sont donc accusés de racisme par ceux qui s’emploient à les faire disparaître. Ne trouvez-vous pas louche qu’il y ait des débats sur la pédophilie dans les hautes instances internationales et que tout débat sur l’opinion raciste soit absolument interdit ? Essayons de faire un effort de discernement. Le racisme est d’abord une opinion avant que l’on en fasse un délit. Le délit c’est précisément l’injure publique, le non-respect de la loi, la violence, les coups et blessures, le meurtre… le caractère raciste ne fait que s’ajouter au délit. Une opinion raciste qui ne s’exprime pas par une violence physique ou verbale, n’est pas un délit, ou ne devrait pas l’être. Une opinion raciste n’est qu’une opinion, qu’une pensée et aucune pensée n’est délictuelle, pour peu qu’elle ne s’exprime pas par la violence. Rendre délictuelle une pensée, puis une autre, nous amène finalement à mettre la pensée en général sous surveillance judiciaire, à judiciariser la pensée, à l’écraser du poids du soupçon et de la présomption, et à nous dissuader de penser librement, sous peine d’incarcération. Vouloir judiciariser une opinion est d’autant plus absurde qu’une opinion peut changer, évoluer, au fur et à mesure des expériences, des rencontres, des échanges, des réflexions. On commence par criminaliser l’opinion raciste, et on finit par criminaliser le doute, l’esprit critique, comme on l’a vu durant la crise du Covid. Il arrivera un moment où la pensée elle-même, quelle qu’elle soit, sera criminalisée, interdite. On nous dira que la pensée libre est dangereuse et que, pour des raisons de sécurité, par principe de précaution, il faut l’interdire, ou l’encadrer radicalement avec de l’intelligence artificielle. Au bout du compte, ne sera alors finalement autorisée que l’information produite par l’intelligence artificielle, programmée par une oligarchie invisible… Sommes-nous en train de vivre les dernières heures de la pensée réellement libre ?…

L’opinion raciste affirme une hiérarchie des races et la supériorité d’un peuple, d’une race, supériorité génétique ou biologique qui peut justifier ensuite la domination sur les autres peuples ou races. Et cette opinion anthropologique devrait pouvoir s’exprimer librement à travers des débats contradictoires sereins. Pour ma part, je pense que la supériorité d’un peuple ou d’une race n’est pas génétique mais conjoncturelle. Je m’explique. Au IIIème millénaire avant J.-C., les tribus germaniques vivaient encore à l’état sauvage dans les forêts du Nord, sans écriture, sans produire la moindre bribe de civilisation (quel devait être alors leur quotient intellectuel moyen !… ), et ces tribus germaniques étaient de race parfaitement pure, si on se réfère à Strabon, géographe grec de l’Antiquité ; toujours à cette même période du IIIème millénaire avant J.-C., à Sumer, dans l’actuel Irak, au bord de l’Euphrate, on calculait des racines carrés et des équations du second degré, on construisait des temples et des palais et l’écriture fixait les lois, les informations administratives, les premières œuvres littéraires et les registres de commerce. Cependant, ces tribus germaniques à l’état sauvage parvinrent au bout de quelques millénaires à une supériorité civilisationnelle, bien devant l’Irak ; conclusion, la supériorité d’un peuple n’est donc pas déterminée racialement, génétiquement, celle-ci est donc conjoncturelle, et procède d’un développement de l’esprit, à la faveur d’un certain contexte politique. La thèse de la supériorité raciale intemporelle est donc réfutable. Le racisme biologique est donc réfutable. Et puisqu’il est réfutable, pourquoi nous interdit-on alors de débattre de cette question ? Nous ne devons pas avoir peur de penser librement et de débattre librement, si nous cherchons vraiment la vérité… et donc la justice.

Il ne s’agit pas de combattre la supériorité mais de la comprendre ; interdire l’opinion raciste c’est d’une certaine manière nous interdire de comprendre la supériorité, les raisons de la supériorité, et nous interdire de nous interroger sur le Pouvoir… Voyons bien que cette notion de racisme a été élargie à d’autres notions qui n’ont rien à voir avec la race, par exemple la morphologie, le sexe, la religion… la grossophobie (« racisme » envers les gros, qui ne sont pourtant pas une race), LGBTphobe (« racisme » envers les LGBT, qui ne sont pourtant pas une race), transphobie (« racisme » envers les transexuels, qui ne sont pourtant pas une race), islamophobie (« racisme » envers les musulmans, qui ne sont pourtant pas une race), etc… Mais cela va encore plus loin. Certaines instances idéologico-politiques s’emploient à faire de la pédophilie une orientation sexuelle comme une autre, malgré les inlassables dénonciations alarmantes et déterminées des pédo-psychiatres et des psychologues. Si la pédophilie vient un jour à être reconnue par la loi comme une orientation comme une autre, alors ceux qui s’y opposeront pour protéger leur enfant seront qualifiés de racistes pédophilophobes ! Et seront jetés en prison. L’accusation de racisme tous azimuts deviendra alors une arme de soumission intégrale, si ce n’est déjà le cas. L’arme de soumission qui soumet les nations et qui permet particulièrement à Israël de détruire et d’exterminer en toute impunité. Car contester à Israël le droit à la sécurité même au prix d’exterminations, est qualifié de racisme, de racisme anti-juif précisément, abusivement appelé antisémitisme. Bientôt viendra le racisme génocidophobe : le racisme envers ceux qui par sécurité génocident des peuples.

Seule une oligarchie transnationale financière pro-israélienne toute-puissante peut expliquer l’incroyable impunité d’Israël. Cette oligarchie usuraire d’obédience israélite qui prêche l’égalité et l’anti-racisme divise en réalité les hommes entre initiés et profanes, et a le plus grand mépris pour les profanes, qu’il accuse de racisme ; mais ceux qui profanent et souillent la sacralité de la vie sont justement ces initiés. Contester la hiérarchie parasitaire usuraire oligarchique actuelle serait donc être raciste… ! Pourtant, on peut envisager une autre hiérarchie. Une hiérarchie spirituelle. Les parasites en bas, les sages en haut. Le Saint-Esprit en haut, l’esprit du Serpent en bas. L’esprit de clarté en haut, l’esprit du chaos en bas. L’esprit de bonté en haut, l’esprit de nuisance en bas. L’esprit de la grâce en haut, l’esprit de bestialité en bas. L’esprit de pureté en haut, l’esprit de souillure en bas. L’esprit souverain en haut, l’esprit déchu en bas, tout en bas. Quand l’esprit déchu gouverne, la déchéance ne peut que régner. L’esprit déchu, l’esprit du Serpent gouverna à Sumer et le Déluge balaya cette déchéance. Les héritiers de l’esprit déchu sont aujourd’hui devenus les quasi-maîtres du monde. La déchéance pourrait donc bien devenir mondiale. Mais la vocation de la déchéance est évidemment de déchoir, jusqu’à la chute finale. La sagesse consiste précisément à ne pas nous laisser entraîner dans leur chute, car ils veulent nous y entraîner, par vengeance. Opposons à leur ruse des divisions la sagesse des alliances, cette sagesse inspirée du Saint-Esprit. Le salut ne peut être que spirituel, avant d’être matériel, tel fut en vérité le message de tous les prophètes.

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