Les démons mondialistes sont dans une sacrée merde, leur projet de s’emparer de l’Ukraine avant de s’emparer de la Russie a pris l’eau ; les leaders européens affichent leur divergence pour une armée commune pour se substituer à l’aide américaine en Ukraine, aide suspendue par Trump comme chacun sait. Cette Union Européenne n’est ni « union » ni « européenne ». Meloni a déjà dit qu’elle n’enverrait pas de troupes en Ukraine, Orban n’en parlons pas, et Starmer s’est opposé sèchement à Macron sur la trêve de trente jours. Mais Imaginez que Zelenski tombe, imaginez que Ursula tombe, que Macron tombe, que Starmer tombe, imaginez que l’Union européenne tombe, imaginez que les nations européennes retrouvent leurs frontières, eh bien tout cela n’empêchera pas le métissage inexorable des Européens et la dissolution complète de leur merveilleuse culture. La plus haute noblesse de l’humanité est sortie de cette culture, les plus hautes œuvres de l’esprit. Les plus nobles notions, présomption d’innocence (Saint Louis), séparation et équilibre des pouvoirs (Montesquieu), les plus nobles projets, abolition de l’esclavage (Victor Schœlcher). Pourquoi la musique classique est jouée, pratiquée et étudiée dans le monde entier au point d’être devenue une musique universelle… Le concours Chopin voit « s’affronter » chaque année des jeunes pianistes venus de tous les pays. Tous comme les olympiades grecques sont devenus un événement culturel universel. Aucune autre culture particulière est devenue universelle. Redisons-le tout net, seul le particularisme culturel européen est devenu universel, mais ce particularisme est en train de mourir, par ce maudit métissage idéologique et cosmopolitisme indéracinable (sauf pour Israël… ). Et cette perte serait irréparable. Disons-le encore plus nettement, l’universalité est une invention européenne. Les autres particularismes culturels n’ont jamais dépassé leur particularisme. Quand on y pense, la sagesse grecque a été adopté par le monde, sans violence. Dans toutes les universités du monde, on étudie Platon, comme on apprend à lire ou à marcher. On apprend à penser avec Platon (avec Socrate, diront les puristes). Certains se récriront en tentant de me démontrer que ce que je dis est faux, et m’opposeront des arguments rationnels, et on entrera ainsi dans une dialectique rationnelle. Mais précisément, la dialectique rationnelle est une invention européenne ! Grecque précisément. L’universalité de l’homme est une invention européenne, qui s’est retournée contre eux ! Par ailleurs, c’est cette universalité de l’homme que revendiquent les peuples opprimés. L’universalité de l’homme est une belle idée, mais une belle idée n’est pas forcément vraie. Justement, et si cette idée n’était pas vraie. Le joug idéologique est tellement totalitaire aujourd’hui que l’on ne peut pas examiner cette question sereinement, l’examiner tout court. Car si cette idée n’était pas vraie, et que les Européens avaient le courage de l’admettre, alors peut-être qu’ils conjureraient leur dissolution inexorable. À l’origine de l’extraordinaire culture européenne, il y a l’extraordinaire sagesse grecque. Originaire d’Hyperborée selon certains, dont je suis. La grande figure grecque de la sagesse étant précisément Apollon l’Hyperboréen, comme les anciens grecs l’appelaient eux-mêmes. Hyperborée fut engloutie par les eaux, mais pas sa sagesse. La tragédie actuelle est que cette sagesse transmise de siècle en siècle en Grèce et et Europe est en train d’être dissoute par la dissolution des Européens et de leur culture. Qu’adviendrait-il de l’humanité après cette perte irréparable ?… Je ne suis pas sûr que l’humanité y survivrait. La dissolution générale et son cortège interminable de chaos achèverait l’humanité, au profit d’une petite caste… dénuée de toute sagesse et animée de toutes les ruses.
Farid Soumari
5 mars 2025 à 3 h 13 min
M Hadjiat. En fournissant un gigantesque effort de compréhension et même avec l’assistance de stupéfiants, il est très difficile, voire impossible d’admettre que des personnages comme Hippocrate, Galien, Dioscoride ainsi que Aristote, Platon et tous les « penseurs » de la Grèce antique aient pu être les auteurs d’écrits en plusieurs volumes, de collection de « livres » en plusieurs tomes ! En Vérité Historique monsieur Hadjiat le papyrus très fragile est pratiquement inexistant en Grèce, seuls les prêtres et l’administration égyptienne s’en servaient il se conservait mieux qu’ailleurs car le climat en Egypte est chaud et sec. Quant au papier, il était inexistant en Grèce. Si l’on pénètre dans cette logique les questions fusent. Où sont les « écrits », les « livres », les « ouvrages » des Egyptiens, des Perses, des Phéniciens, des Mésopotamiens, des Assyriens, etc. pourtant beaucoup plus avancés en tout domaine culturel, politique, social, etc. au regard des Grecs et détenteurs d’une civilisation beaucoup plus raffinée et plus ancienne que celle de la Grèce ? Sont-ils incapables de rédiger un quelconque « ouvrage» ou « livre » dans quelque domaine que ce soit ? Sont-ils plus sousdéveloppés que les Grecs, incapables d’écrire une quelconque littérature, d’exprimer une quelconque idée ? Sont-ils analphabètes ? Son-ils des peuples sauvages vivant de cueillettes et de chasse ? N’ont-ils pas de système d’écriture ? La réponse est que ni les Grecs, ni les Egyptiens, ni les Assyriens, ni les Perses, ni les Mésopotamiens n’étaient en mesure d’écrire un quelconque écrit sous forme de « livre» ou d’« ouvrage » de plusieurs dizaines, voire de plusieurs centaines de nos pages actuelles comme le prétendent les historiens ou hellénistes ! Aucun support de l’Antiquité bois, argile, cuir, métal, pierre, etc. ne pouvait comporter autant de signes graphiques qui transcrivent la parole et la pensée. De plus, la société grecque, à par les quelques familles, les Eupatrides qui dirigent les Cités, sont un peuple illettré et à culture à transmission traditionnellement et foncièrement orale ! Le seul support capable de contenir une telle quantité d’informations en système de caractères pour représenter la parole ou la pensée (écriture pictographique) est le papier et rien que le papier bien entendu jusqu’à l’arrivée de l’ordinateur et du support informatique. C’est pour cette raison que l’on parle de « livre » ou d’« ouvrage » qu’à partir du VIIe siècle et à aucune autre période de l’Histoire ! Comment les historiens et tous les spécialistes des Sciences humaines peuvent-ils connaître avec une telle précision la biographie, les « ouvrages et « livres » » des personnages comme Dioscoride [40-90], Galien [131-201], Hippocrate [460-370], Archimède [287-212], Aristote [384-322], etc. Alors même qu’ils n’ont aune indication sur aucun support sur un autre personnage qu’est Jésus-Christ qui, lui, est postérieur de plusieurs siècles ? Vraiment, c’est un non-sens ! Et de quelles sources se réfèrent-ils, sur quel support sont-elles enregistrées et d’où proviennent-elles pour étayer des allégations qu’ils établissent sous forme de dogmes ? On reste perplexe ! Encore une fois, même la mobilisation et la mise en œuvre de toutes les forces psychiques et ressources intellectuelles en vue de refuser l’évidente sottise qui crève nos yeux celle des « ouvrages » ou « livres » grecs, il est difficile de se convaincre. Vraiment, il est ardu d’admettre cette aberration. Mais hasardons-nous tout de même sur le terrain du non-sens. Au cas où, Hippocrate, Dioscoride, Galien, Diophante, Pythagore, Aristote ou Platon, etc. aurait réellement existé, il serait à l’instar de tous ses « concitoyens », un véritable superstitieux, un authentique adepte de la mythologie, un réel partisan de la magie. Dès lors, il ne pouvait en aucune manière s’imaginer ou concevoir les Sciences qui sont apparues à la fin du VIIe siècle. Comment peut -il faire des recherches empiriques lui qui patauge comme tous ses concitoyens dans les mythes et le culte des héros. Ces assertions relèvent, bien entendu, du mythe, c’est à dire du récit imaginaire, de la fiction, des légendes, de l’affabulation. Donc, du mensonge tout simplement ! Il est clair que tous les personnages grecs que l’Europe décrit comme « illustres » ne sont , en réalité, qu’une grossière et simple invention. En effet, les Aristote, Hippocrate, Galien, Platon, Thalès, Pythagore, Archimède, Diophante , Dioscoride, Socrate, etc. ont été imaginés, consignés sur divers supports livres, peintures, sculptures, gravures, etc..et diffusés à la Renaissance et pendant tout le Moyen-âge. Ils ont été utilisés comme modèles de pensée, par l’Eglise dans son programme anti-Islam et contre-culturel. Les stratèges de l’Eglise et du bras séculier souverain, prince, etc. réalisèrent très tôt l’enjeu de la Culture islamique et le danger qu’elle représente pour son Orthodoxie, voire pour son existence même. Acquérir le Savoir musulman (Sciences)en version latine et en disposé selon sa politique fut sa préoccupation constante. Pour cela, ils dépêchèrent ses arabisants les plus doués dont Constantin l’Africain [1015-1085], Gérard de Crémone [1114-1187], Arnaud de Villeneuve [1235-1311], représentent les chefs de file. L’optique des stratèges de l’Eglise et du bras séculier est : « Que les Sciences en général et médicales en particulier, soient adoptées par la chrétienté est une chose merveilleuse, certes, mais jamais, ô jamais il ne sera question d’admettre qu’elles soient l’œuvre des penseurs musulmans ! Voilà, une attitude impensable ! Il est urgent de fabriquer de faux penseurs grecs pour deux raisons majeures. D’une part, d’ôter toute paternité des Sciences aux penseurs musulmans et donc de toute reconnaissance. Les savants musulmans demeurent tout de même des infidèles, donc des ennemis. D’autre part, d’inventer une continuité socioculturelle entre l’Antiquité gréco-romaine et l’Occident chrétien. En cela, il est impératif de faire croire au monde et à la postérité que les les Musulmans ont servi de copistes de la culture grecque ! ».